Depuis l'arrivée du technicien espagnol Luis Enrique, l'on observe une implication presque totale de tout l'effectif parisien. "Lucho" a fait clairement comprendre qu'il avait 22 et non 11 titulaires. De plus, l'on a pu observer beaucoup de turnovers cette saison avec une composition différente quasiment à chaque match, ce qui permet à tous les joueurs de se sentir importants aux yeux du coach parisien.
Une nouvelle recrue fait parler d'elle à ce jour notamment par ses bons résultats en 2024 et une implication sans faille dans l'équipe, il s'agit de l'international portugais, Gonçalo Ramos. L'attaquant parisien avait débuté la saison sur le banc, avec un faible temps de jeu et des performances en dents de scie.
Cependant, depuis cette année, Gonçalo Ramos a un second souffle. En effet, il est auteur de 7 buts en 2024 et a également clamé son amour du maillot en célébrant son but au stade Vélodrome lors de la victoire parisienne (0-2) lors du Classique. Ramos démarre sur le banc, mais quand il rentre, il marque. Il faut noter que "O Pistoleiro" est le 3ème joueur parisien à marquer aux deux confrontations contre l'OM en une seule saison de championnat. Il se situe derrière un certain Zlatan Ibrahimovic et l'ancien ballon d'or 2005, Ronaldinho.
En conférence de presse ce jour, l'ancien sélectionneur de la Roja a tenu à rendre hommage à son attaquant :
" Si je dois vous parler de Ramos, je peux seulement vous parler d'un état d'esprit de fer. Il a une ambition sans faille et est un joueur très intéressant. Je suis très content de l'avoir dans mon équipe, il est toujours prêt à aider l'effectif. Ses chiffres sont bons, il a de très bonnes performances. Il mériterait d'avoir un meilleur temps de jeu mais c'est le lot des grandes équipes. Il est impeccable de par ses performances et son caractère. Il est jeune mais il est déjà très mûr. Je suis très content de l'avoir."
De quoi faire plaisir et encore plus redonner de la confiance à l'international portugais, qui a pour idole une ancienne star portugaise de la capitale, Pedro Miguel Pauleta.