Disposé à jouer les seconds rôles (Coupe de France, Coupe de la Ligue), Nicolas Douchez n'apparaît pas à son avantage quand Laurent Blanc fait appel à lui.
Arrivé à l'été 2011 dans la peau d'un titulaire, après avoir passé 3 belles saisons avec le Stade Rennais, Nicolas Douchez se blesse. Pendant son absence un autre gardien venu d'Italie du nom de Salvatore Sirigu s'installera définitivement dans les cages parisiennes. L'ancien Rennais s'est d'ailleurs montré réaliste quand à ses récentes performances que beaucoup jugent insufisantes.
« Sur mes statistiques, depuis que je suis à Paris, le ratio buts encaissés/matches est nettement supérieur à ce que je faisais avant. Je prends trop de buts à Paris, c’est certain. C’est difficile de comparer les matches de championnat et de coupe car la gestion n’est pas la même. C’est moins facile de jouer une fois de temps en temps. Il y a un effort à faire là-dessus. C’est un ensemble. Moi, je suis le dernier rempart. J’accepte les statistiques. Il n’y a aucun problème. La critique fait partie du métier. Je travaille dur pour inverser la tendance », a-t-il déclaré sur France Bleu 107.1 dans l’émission Tribune 100% Ducrocq.
Ce dernier sait qu'il faut accepter les critiques.
« Mon rapport avec la presse ? Il faut savoir accepter les critiques. Je ne ressens pas le besoin de m’exprimer. Les médias parisiens sont compliqués à gérer. Je me suis mis à l’écart au début car je ne voulais pas rentrer dans la polémique quand je me suis blessé et que Salvatore est arrivé » a t-il déclaré.