Sur son blog, le journaliste sportif Bruno Roger-Petit est revenu sur le Classico de dimanche soir.
« Le destin du match en lui-même ne parait guère faire de doute. Si suspense il y a, il porte sur l’ampleur de la victoire du PSG. Combien de buts d’écart à l’arrivée ? Trois ? Quatre ? L’OM est-il capable de marquer ne serait-ce qu’un petit but à Sirigu ? Même Gignac ? Notez bien : ce n’est pas que l’on veuille du mal à Marseille par principe. On aimerait que la formation de José Anigo soit à la hauteur de l’événement, mais on en doute. Même Mandanda, si brillant en début de saison, est devenu une usine à bourdes en tous genres. Quand bien même l’OM a eu de la chance ces derniers temps, on imagine mal la formation conduite par le tandem Anigo/Labrune inquiéter plus de vingt minutes le PSG de Laurent Blanc. Oh certes ! Tout est possible, c’est ce qui fait le charme du football, mais qui pourrait croire aujourd’hui, entre une équipe qui brille en Ligue des champions et une autre qui y a été ridicule, que la seconde puisse vaincre la première ? »