Jérémy Ménez et Foot2Rue vainqueurs pour leur premier match
C'était donc l'événement de lundi, le premier match de la Kings World Cup. L'équipe de France nommée "Foot2Rue" affrontait le PIO FC (équipe espagnole) dans le cadre du premier match officiel de la compétition. Alors que l'équipe espagnole avait l'habitude d'évoluer ensemble et de jouer sur ce type de format et de terrain, l'équipe d'AmineMaTue ne s'était encore jamais essayée à ce type de match auparavant.
Le match
Le match avait plutôt mal commencé pour l'équipe de Jérémy Ménez, elle était déjà menée 4-0 alors que la première période n'était pas finie. C'est alors qu'a commencé une remontée folle. En effet, l'équipe française a réussi à revenir à 5-4 juste avant la mi-temps, laissant miroiter un possible renversement en seconde période. C'est d'ailleurs bien ce qui va se passer : à la suite d'un joker utilisé par le coach Saïd, Foot2Rue a bénéficié d'un penalty transformé dans la foulée. Les deux équipes sont donc dos à dos et se dirigent vers une séance de tirs au but un peu particulière.
La séance de tirs au but
Alors que deux joueurs de Foot2Rue et trois joueurs du PIO FC avaient déjà loupé leur face-à-face, c'est au tour de Jérémy Ménez de se présenter face au gardien espagnol pour permettre à son équipe de mener et d'entrevoir la victoire. L'ancien Parisien s'avance et, d'une enroulée magistrale en lucarne droite, trompe merveilleusement le portier espagnol. Par la suite, l'équipe d'AmineMaTue l'emportera 2-1 dans la séance de tirs au but grâce notamment à son gardien Christian Nsapu, qui aura été totalement impérial.
Les mots forts de Jérémy Ménez
Après le match, l'ancien Parisien répondra au micro d'InstantFoot et d'autres médias.
"Ça fait plaisir ! C'était un peu dur au début du match, c'était le premier match, on avait peut-être un peu de pression, on voulait rentrer dans la compétition. On a été costauds dans la tête, on a su revenir et franchement c'est une très belle victoire, on est tous contents."
"Merci beaucoup aux supporters français, surtout qu'on joue super loin, même ici (au Mexique) il y en avait. J'entends dire qu'on était plus de 500 000 sur le stream d'Amine donc ça fait vraiment plaisir et chaud au cœur, et puis on va essayer de se battre pour eux aussi."
"Franchement c'est dur. En fait, il faut prendre le premier souffle et ensuite ça va mieux. Mais ce ne sont pas les mêmes efforts qu'à onze donc ça change énormément."
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