Jeudi 3 octobre, 14 heures, et voilà déjà une deuxième liste du sélectionneur des Bleus. L'équipe de France y affrontera Israël le 10 septembre prochain, puis la Belgique le 14 octobre au Groupama Stadium. Ces deux matchs de Ligue des Nations auront lieu à 20h45 et seront diffusés sur TF1.Voici la liste complète :<ul><li>Alphonse Areola (West Ham)</li><li>Mike Maignan (AC Milan)</li><li>Brice Samba (RC Lens)</li><li>Jonathan Clauss (OGC Nice)</li><li>Wesley Fofana (Chelsea)</li><li>Théo Hernandez (AC Milan)</li><li>Ibrahima Konaté (Liverpool)</li><li>Jules Koundé (FC Barcelone)</li><li>Lucas Digne (Aston Villa)</li><li>William Saliba (Arsenal)</li><li>Dayot Upamecano (Bayern Munich)</li><li>Youssouf Fofana (AC Milan)</li><li>Eduardo Camavinga (Real Madrid)</li><li>Manu Koné (AS Rome)</li><li>Aurélien Tchouaméni (Real Madrid)</li><li>Warren Zaïre-Emery (Paris Saint-Germain)</li><li>Bradley Barcola (Paris Saint-Germain)</li><li>Ousmane Dembélé (Paris Saint-Germain)</li><li>Randal Kolo Muani (Paris Saint-Germain)</li><li>Christopher Nkunku (Chelsea)</li><li>&nbsp;Michael Olise (Bayern Munich)</li><li>Marcus Thuram (Inter Milan)</li></ul>

Pour le prochain rassemblement de l'équipe nationale, Didier Deschamps a convoqué quatre Parisiens : Warren Zaïre-Emery, Bradley Barcola, Randal Kolo Muani et Ousmane Dembélé.

Quatre parisiens convoqués par Didier Deschamps

La semaine a été compliquée pour l'international français. Privé du déplacement à Londres par Luis Enrique pour des raisons disciplinaires, Ousmane Dembélé n'a rien pu faire d'autre que de constater le naufrage parisien face aux Gunners (défaite 2-0).Pour remplacer le numéro 10 parisien, le tacticien espagnol a choisi Désiré Doué, qui s'est montré muet face à un Ricardo Calafiori solide. De possibles regrets peuvent alors émerger dans l'esprit parisien de n'avoir pas pu compter sur l'ailier virevoltant. Sa réintégration au groupe semble alors primordiale pour définitivement tourner la page.&nbsp;Un retour retardéLe club de la capitale annonce ce matin dans un communiqué qu'Ousmane Dembélé s'est présenté ce matin à l'entraînement. Les médecins parisiens ont malheureusement identifié une angine chez le champion du monde 2018. Le joueur a donc été autorisé à rentrer chez lui et un retour à l'entraînement est espéré pour demain.À voir maintenant si Luis Enrique décidera de le convoquer pour la réception de l'OGC Nice.

Ousmane Dembélé, écarté pour raisons disciplinaires lors du match contre Arsenal, a vu son retour à l'entraînement retardé en raison d'une angine, et sa présence pour le prochain match contre Nice reste incertaine.

Le retour d'Ousmane Dembélé repoussé

Le schéma se répète. Comme chaque année, à chaque mauvaise performance, le PSG n'est jamais épargné, que ça soit par les supporters hostiles ou encore par la presse, toujours de plus en plus véhémente envers le club de la Ville-Lumière. Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi le Paris Saint-Germain est t-il discrédité à ce point ? Essayons de répondre à ces questions.&nbsp;&nbsp;Un PSG renaissant, pas au goût de tousC'est connu, le Paris Saint-Germain a été racheté en 2011 par la branche QSI, un riche investisseur afin de donner un nouveau souffle au club de la capitale alors dans une période compliquée. Une relégation évitée de justesse, un manque de résultats et un club devenu terne.&nbsp;Le rachat par les Qataris aura été la meilleure chose qu'il puisse arriver. Une nouvelle dynamique, un nouveau budget, des nouveaux joueurs et de nouveaux objectifs. Le Paris Saint-Germain devient donc au fil des années une marque, une vitrine aux yeux du monde entier.&nbsp;Certes, avec tous ces changements, l'écart entre le PSG est les autres équipes françaises se creusent de manière exponentielle. Une rafle au niveau des trophées, une qualification à chaque Ligue des Champions et des gros noms (Neymar, Messi, Ramos, Ibrahimovic...).&nbsp;Une jalousie et une haine se créent au fur et à mesure du temps. Un mécontentement général émerge. Des supporters qualifient le club "QSG" (Qatar Saint-Germain) pour faire clairement comprendre que sans QSI, le PSG n'est rien.&nbsp;&nbsp;Du pain béni pour la presse&nbsp;Devenu l'une des meilleures équipes d'Europe (n'en déplaise à certains), le club Rouge et Bleu est donc scruté de partout. Chaque mauvaise performance est remarquée, amplifiée que ça soit par les supporters ou la presse. Ces derniers savent très bien comment faire pour entretenir cette mauvaise relation entre le PSG et le monde.&nbsp;En plus de cela, depuis 2 saisons maintenant, c'est Luis Enrique, coach atypique qui officie du côté de la capitale. Le technicien ibérique assume une relation conflictuelle avec la presse : "si je devais perdre 30% de mon salaire en ne parlant pas à la presse je le ferai, mais ce n'est malheureusement pas possible."&nbsp;Pour parler de faits concrets, mardi dernier, le PSG s'est incliné à l'Emirates Stadium et alors là c'est le drame. Toute la saison est remise en question et un "journaliste" a même laissé entendre qu'une démission de Lucho était une "éventualité". En bref, une grosse vague de désinformation.&nbsp;Depuis donc la saison dernière, le PSG essaie d'axer son effectif sur la jeunesse, afin de donner le plus de temps possible à tous les joueurs présents, privilégiant le collectif à l'individualité. La presse ricane et aime taper sur les doigts de Lucho en remettant en question cette philosophie. <a target="_blank" rel="noopener noreferrer" href="https://api.lemeilleurdupsg.com/admin/content-manager/collectionType/api::article.article/40778">La mise à l'écart d'Ousmane Dembélé</a> en est la preuve la plus récente.&nbsp;&nbsp;En conclusionTous ces facteurs (aussi amplifiés qu'ils soient) nuisent clairement à l'image du PSG, entretiennent cette moquerie et haine incessante. Le fait de perdre, de mal jouer un match ou de ne pas avoir encore gagné la Ligue des Champions "avec un tel budget" fait parler.&nbsp;Malgré cela, on sent un Paris Saint-Germain fort, un entraîneur avec (enfin) les pleins pouvoirs et une équipe qui vit pour le club. Un collectif bien huilé mais avec quelques blessures certes. L'objectif est désormais de prendre du plaisir à voir jouer cette équipe, pouvoir ressentir de nouveaux des frissons et laisser le coach travailler à son rythme afin d'avoir les meilleurs joueurs possibles.&nbsp;ICI C'EST PARIS. RÊVONS PLUS GRAND. 🔴🔵&nbsp;

À l'issue de cette deuxième journée de Ligue des Champions revisitée, le PSG s'est incliné à Arsenal (2-0) et la presse (pas que française) s'amuse à tailler le club de la capitale sans vergogne quitte à faire de la désinformation. Une attitude étrange et à géométrie variable lorsque d'autres clubs font de mauvais résultats. Explications. 

Le Paris Saint-Germain, la cible parfaite

Opposé à son plus gros adversaire de ce début d'exercice 2024-2025, le Paris SG a connu son premier revers toutes compétitions confondues. Plus encore, le club de la capitale a pu constater le fossé qui le séparait des ogres européens. Analyse.&nbsp;Fragiles et déconcentrésAyant décidé de se passer d'Ousmane Dembélé pour raison disciplinaire, Luis Enrique optait pour l'option Désiré Doué à la droite de son attaque. Dans l'axe, Lee Kang-In fut reconduit comme face à Rennes vendredi (voir article). Enfin, Gianluigi Donnarumma retrouvait sa place dans les buts, après trois rencontres ratées suite à une blessure à la cuisse. Mais son retour ne s'est pas passé comme il l'aurait souhaité. Nous y reviendrons plus tard.En face, l'ancien parisien Mikel Arteta alignait son onze habituel, composant avec les blessures du capitaine Martin Odegaard et de ses latéraux Ben White et Oleksandr Zinchenko.Très rapidement, les Rouge et Bleu comprirent que la soirée allait être difficile. Les Gunners mirent en effet beaucoup d'intensité dès le coup d'envoi. Avec une première occasion à mettre à l'actif de Bukayo Saka (8e). Dix minutes plus tard, le spectre des erreurs de Donnarumma revint du diable Vauvert quand Kai Havertz devança la sortie (ratée) de l'Italien pour placer sa tête après un centre de Leandro Trossard (19e, 1-0).&nbsp;Si près, mais surtout si loinLoin de se défiler, les Franciliens effectuèrent un pressing haut et se procurèrent des situations. À tel point qu'après un une-deux avec Bradley Barcola, Nuno Mendes enclencha de l'entrée de la surface et toucha la base du poteau de David Raya (28e). Un vrai temps fort parisien puisque dans la foulée, Achraf Hakimi mit le portier espagnol à contribution, débouchant sur un corner (30e).Mais plus froids, et surtout exploitant à merveille les erreurs de jugement des nôtres, les locaux inscrivirent le but du break ; ceci grâce à un coup-franc edu style "mini-corner" de Saka que personne ne toucha, trompant ainsi "Gigio"... (35e, 2-0).Le second acte accentua l'impression d'écart de niveau entre les deux formations. Avec d'un côté un Arsenal expérimenté, en mode gestion, et de l'autre un PSG tentant de multiplier les offensives mais sans quasiment jamais se montrer dangereux. Les statistiques sont d'ailleurs édifiantes : Paris a eu deux fois plus le ballon (65%), a tiré deux fois plus (10 à 6) mais a cadré deux fois moins (2 à 5) et n'a tout simplement pas su trouver la faille.&nbsp;Des carences et des conséquencesAutre symptôme impardonnable à ce niveau : le manque de réalisme (Kolo Muani à plusieurs reprises après son entrée, Lee Kang-In à la 67e). Et quand celui-ci est couplé à un manque de réussite (nouveau montant par l'intermédiaire de Joao Neves à la 65e), on ne peut espérer obtenir un résultat positif.Les Gunners auraient même pu inscrire une troisième réalisation si Donnarumma n'avait pas augmenté son niveau devant Martinelli à deux reprises (51e et 75e).En s'inclinant donc pour la toute première fois cette saison, Paris perd de précieux points dans la course au Top 8 de la Saison Régulière de Ligue des Champions. À charge aux hommes de Luis Enrique de tout faire pour gommer leurs failles lors de la suite de la compétition. En attendant, retour aux affaires domestiques ce dimanche avec un déplacement à Nice (7e Journée de L1).

Trop friable, le Paris Saint-Germain s'est logiquement incliné sur la pelouse d'Arsenal ce mardi soir (2-0, 2e Journée de LDC). C'est la première défaite de la saison pour Paris.

Face à Arsenal, le PSG a vu ses limites

&nbsp;Le PSG s'incline logiquement sur le terrain de l'Emirates Stadium pour son deuxième match européen de la saison face à Arsenal (2-0). En seconde période, le PSG a essayé de réagir, mais n'a pas réussi à être dangereux pour marquer et faire trembler les Gunners.&nbsp;Même s'il aurait pu inscrire son premier but sous le maillot du PSG après une déviation sur un corner qui a fini sa course sur la barre, Joao Neves n'a pas été à son meilleur niveau ce mardi soir. L'international portugais, présent en zone mixte, n'a pas exprimé d'inquiétude après ce premier revers de la saison:<blockquote>Nous n’avons pas bien débuté le match. En seconde période, nous étions meilleurs, nous avons eu l’occasion de marquer, mais nous ne l’avons pas fait. Pour gagner, il faut marquer.&nbsp;&nbsp;La Ligue des champions, c’est une compétition très dure, mais je pense que le PSG appartient au haut niveau, avec beaucoup de qualités. Nous nous améliorons depuis le début de la saison.&nbsp;&nbsp;Moi et l’équipe, nous sommes très confiants.&nbsp;&nbsp;Nous sommes une très bonne équipe, avec de grandes idées. Nous allons continuer ainsi parce que nous croyons en nous<span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(255, 255, 255);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">.</blockquote>

Lors de la deuxième journée de la phase de ligue de la Ligue des Champions, le PSG a été battu sur le terrain d'Arsenal ce mardi soir. Néanmoins, Joao Neves refuse de parler de danger et appelle au calme plutôt.


Malgré le sentiment de la défaite, Joao Neves appelle au calme

&nbsp;Le fait de ne pas avoir réussi à dégager face à Karim Benzema en 8e de finale en 2022 à Madrid, ainsi que sa passivité face à Barcelone et Dortmund sur corner en quart et demi-finale en mai...&nbsp;Gianluigi Donnarumma se rend coupable de beaucoup trop d'erreurs bien évitables pour le PSG lors des matchs importants.&nbsp;Mardi, il s'agissait simplement d'un match de phase de ligue, mais le test à Arsenal demeurait le premier changement de direction de la saison du PSG. Le gardien italien a encore fait une erreur voir deux...&nbsp;Il ne comprend pas la trajectoire et la course de Kai Havertz sur un centre de Leandro Trossard. Devant l'attaquant allemand, Donnarumma est trop court (20e) sur sa sortie aux poings et Paris part avec un handicap qu'il ne pourra malheureusement jamais compenser.Pire encore... le gardien du PSG encaisse un second but à la 37e minute. Saka lance un coup franc dans un trou de souris, et comble de malheur alors que ce coup-franc le surprend une fois de plus...&nbsp;Dès qu'il doit gérer la profondeur, notamment sur les ballons aériens, le gardien le plus performant de l'Euro 2021 rencontre de sérieuses difficultés. Une limite qui crée de véritables problèmes à Gigio et au club de la capitale...Et force est de constater que malheureusement, les médias ne sont clairement pas content de la situation cauchemardesque qui arrive avec le portier italien qui est vivement critiqué ou remis en question:Premièrement, Samir Nasri est revenu sur les erreurs du gardien italien:<blockquote>Gianluigi Donnarumma, c’est sa faiblesse, le jeu aérien. On le voit à l’image de ce qu’il fait ce soir.&nbsp;&nbsp;Le deuxième but ? Je l’impute aussi. Pour moi, c’est sa faute, il met ses mains devant et la balle passe juste à côté. D’accord, personne ne la touche… mais le coup-franc n’est pas tiré fort...</blockquote>Et disons que Nasri n'est pas le seul à vouloir parler des déboires de Donnarumma alors que le journaliste Christophe Lollichon s'est également confié sur les difficultés de ''Gigio'':<blockquote>Quand on voit l'image brutale de ce but, on se dit forcément qu'il y a un truc qui ne va pas avec Donnarumma.<span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(51, 51, 51);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">On retrouve souvent les mêmes erreurs avec lui. Sur cette action, je ne sais pas s'il voit Havertz et dans ce type de situation, il y a toujours un doute avec lui.&nbsp;Là, c'est encore un problème d'appréciation de trajectoire et de lecture du jeu. S'il a un mètre d'avance, il ne prend pas ce but mais il n'anticipe pas. Son positionnement est trop bas mais je me répète : a-t-il pris l'information ? A-t-il vu Havertz ?</blockquote>Mais pour l'ancien entraineur des gardiens de Chelsea, il est clair que les limites de Donnarumma l'empêche d'être gardien de ''très très haut niveau'':<blockquote>On a l'impression qu'il encaisse toujours le même genre de but. Dès qu'il y a plusieurs paramètres à gérer, il y a toujours un risque. Ce n'est pas hyper rassurant<span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(51, 51, 51);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">.</blockquote><span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(51, 51, 51);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">En seconde période, l'Italien a terminé la rencontre avec deux belles parades au sol face à Martinelli. mais cela restait tout de même inquiétant pour Lollichon:<blockquote><span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(51, 51, 51);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">"Il est toujours en capacité de réagir et de faire les arrêts en seconde période mais s'il ne les fait pas ceux-ci, il faut changer de métier<span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(51, 51, 51);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">, tranche un Lollichon cinglant. Il fait le job sauf sur son intervention devant Havertz et c'est aujourd'hui une limite qui l'empêche d'être gardien de très très haut niveau.<span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(51, 51, 51);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">"</blockquote><span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(51, 51, 51);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">Alors effectivemrnt Donnarumma va devoir très clairement se réveiller au plus vite et va bien entendu devoir travailler sur sa technique rapidement car Gigio et le club de la capitale n'ont encore moins le droit à l'erreur dans les prochaines semaines...

Gianluigi Donnarumma a encore coûté de précieux points et une défaite au PSG en Ligue des champions (2-0). 

S'il est vrai qu'il n'est évidemment pas le seul responsable, le portier italien, par une grossière erreur, a une nouvelle fois précipité la défaite des siens en provoquant l'ouverture du score d'Arsenal. 

Le gardien italien continue de souffrir des mêmes problèmes qui continuent de gêner Paris lors des matchs importants. Édito sur ces fameux cauchemars...

Gianluigi Donnarumma, ça commence à faire beaucoup...

&nbsp;L'international portugais a joué 68 matchs en Ligue 1 (10 buts, 7 passes décisives), 8 rencontres en Coupe de France (1 passe décisive), 2 Trophées des Champions et 22 rencontres en UEFA Champions League (2 buts, 1 passe décisive) avec Paris.Le N° 17 des Rouge et Bleu, arrivé en France à l'été 2022 en provenance du portugal est champion de France en 2023 et 2024, et a remporté le trophée des Champions en 2022 et 2023 et la Coupe de France en 2024.

Ce mardi 1er octobre à l'Arsenal Stadium, le milieu de terrain portugais du Paris Saint-Germain est officiellement rentré dans le club sélect des joueurs ayant  disputé 100 matchs officiels avec le club de la capitale lors de la 2e journée de la phase de ligue de l'UEFA Champions League.


Vitinha et la cap des 100 rencontres , c'est maintenant chose faite!

&nbsp;Avec le club de la capitale, l'international brésilien a joué 295 matchs de Ligue 1 (24 buts, 6 passes décisives), 35 rencontres de Coupe de France (3 buts), 20 rencontres de Coupe de la Ligue (2 buts), 7 rencontres du Trophées des Champions et 93 matchs d'UEFA Champions League (9 buts, 5 passes décisives).Le capitaine rouge et bleu qui est arrivé en France à l'été 2013 a remporté le championnat de France 2014, 2015, 2016, 2018, 2019, 2020, 2022, 2023 et 2024, la Coupe de France 2015, 2016, 2017, 2018, 2020, 2021 et 2024, la Coupe de la Ligue 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2020 et le Trophée des Champions 2014, 2015, 2017, 2018, 2019, 2020, 2022 et 2023.

Ce mardi 1er octobre à l'Arsenal Stadium, le défenseur du Paris Saint-Germain a joué son 450e match officiel avec le Paris St-Germain lors de la 2e journée de la phase de ligue de l'UEFA Champions League.


Un nouveau record pour Marquinhos

&nbsp;Pour le coach parisien, ce dernier s'est confié sur le fait que ce fut un match particulièrement difficile pour ses joueurs:<blockquote><span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(21, 30, 45);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">C'était un match que l'on savait difficile, avec un pressing haut de la part de nos adversaires dès la première minute. Nous avons eu du mal à surmonter cette pression. Nous avons eu du mal à gagner des duels, nous les avons presque tous perdus et c'est difficile de rivaliser de la sorte. Une fois qu'ils ont marqué les deux buts, le jeu a changé. Ils nous ont donné un peu plus d'espace, mais c’était un match difficile et nous étions loin de pouvoir rivaliser.</blockquote><span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(21, 30, 45);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">''Lucho'' avait également un petit mot pour les supporters parisiens qui ont fait le déplacement en Angleterre:&nbsp;<blockquote><span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(21, 30, 45);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">Félicitations à nos 3 000 supporters qui sont venus à Londres et qui ont chanté jusqu'à la dernière seconde du match. Je suis désolé que nous n'ayons pas été à la hauteur, mais nous devons continuer et nous voulons vraiment renverser la situation et améliorer nos performances.</blockquote>Pour ce qui est du milieu de terrain portugais, ce dernier est également revenu sur le match difficile que les joueurs du club de la capitale ont connu:&nbsp;<blockquote><span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(21, 30, 45);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">Nous sommes déçus, bien sûr. Ce n'était pas le match que l’on voulait réaliser. On est déçu de ce match, du résultat aussi. C’est surtout la première mi-temps qui nous a coûté le match. Je pense qu’il nous a manqué ce but en deuxième période.&nbsp;&nbsp;<span style="-webkit-text-stroke-width:0px;caret-color:rgb(21, 30, 45);display:inline !important;float:none;font-style:normal;font-variant-caps:normal;font-weight:400;letter-spacing:normal;orphans:auto;text-align:start;text-decoration:none;text-indent:0px;text-transform:none;white-space:normal;widows:auto;word-spacing:0px;">Je pense que si on marque, on revient dans le match, ça peut tout changer. Je suis sûr que ça aurait tout changé. Mais on n'a pas marqué et ça donne l'impression qu'on était trop loin dans ce match. La vérité, c'est que ce n'était pas un bon match, et pas un bon résultat non plus. Donc il faut se relever de ça.&nbsp;</blockquote>

Lors d'une interview accordée à PSG TV, l'entraîneur du Paris Saint-Germain et Vitinha ont abordé la rencontre jouée ce mardi à Londres contre Arsenal (2-0).

Enrique parle d'un match ''difficile''

L'absence de Dembélé<blockquote>"Si quelqu’un ne respecte pas les obligations envers l'équipe, il n'est pas prêt. Je veux que mes joueurs soient dans les meilleures dispositions possibles. Je l'ai mis à l'écart, je veux le meilleur pour l'équipe."</blockquote>&nbsp;Le soutien de la direction<blockquote>"Vous croyez vraiment qu'il est facile de créer une équipe en appuyant sur un bouton ? Non, il y a des circonstances difficiles, des décisions difficiles. Je suis à 100 % engagé dans mes décisions, je suis à 100 % sûr de mes décisions.""Je suis ici pour créer une équipe et le faire aussi avec Dembélé. Mes décisions ne sont pas irréversibles. J'ai signé dans ce club pour bâtir une équipe avec une identité. J'ai le soutien de la direction, du directeur sportif, du président."</blockquote>&nbsp;Le journal L'Équipe contredit<blockquote>"Je suis honnête, mais je ne veux pas faire de cette affaire un feuilleton, il n'y a pas de dispute entre nous deux, c'est totalement faux. Il y a un problème d'engagement du joueur envers l'équipe, mais pas de problème joueur/coach."</blockquote>&nbsp;La dépendance à Barcola et Dembélé<blockquote>"Barcola, Lee, Kolo Asensio, Doué, il y a de quoi marquer, et quel que soit le joueur, la dynamique est la même. J'ai vraiment foi en mon équipe. Transmettre la même identité, quel que soit le joueur."</blockquote>&nbsp;Arsenal, un adversaire coriace<blockquote>"Arsenal est l'une des meilleures équipes d'Europe. Ils jouent très bien dans tous les registres. S'ils sont au top avec le ballon, ils le sont aussi sans. C'est une équipe difficile à jouer, nos deux équipes ont des styles semblables."</blockquote>&nbsp;Les éloges de Mikel Arteta<blockquote>"Les éloges de Mikel Arteta ? C’est très agréable. J’ai déjà travaillé avec lui à l’époque, il était jeune. Il a eu une grande carrière en tant que joueur, il a même joué au PSG. C’est l’un des meilleurs entraîneurs sur le marché."</blockquote>

À la veille de la deuxième journée de Ligue des Champions opposant le PSG à Arsenal, Luis Enrique s'est présenté en conférence de presse pour exprimer son approche vis-à-vis de la rencontre et expliquer sa décision de ne pas convoquer Ousmane Dembélé.

Luis Enrique : "Une équipe difficile à jouer"

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On a coutume de dire qu'il y a eu trois seigneurs dans l'histoire du football français. Dans l'ordre chronologique décroissant, Zinédine Zidane, Michel Platini et Raymond Kopa. Mais lors de la Coupe du monde 1958, ce dernier a été épaulé d'un lieutenant de tout premier ordre pour amener les Bleus à une exceptionnelle et inédite 3ème place.&nbsp;&nbsp;En effet, si le milieu offensif du Real Madrid sera désigné meilleur joueur de cette édition, Just Fontaine restera éternellement associé à un record qui ne sera peut-être jamais battu : 13 buts marqués lors du tournoi suédois ! A eux deux (sans oublier d'autres illustres coéquipiers comme Roger Piantoni et Jean Vincent), le Ballon d'Or de la même année et l'attaquant du Stade de Reims ont mis la France sur la carte du monde footballistique.&nbsp;Celui qui comptabilisera finalement 30 réalisations en seulement 21 sélections deviendra l'entraîneur du PSG en 1973, après la reprise du club par Daniel Hechter. Sous ses ordres jusqu'en 1976, l'équipe francilienne connaitra sa seconde montée en Division 1 dès sa première saison sur le banc Rouge et Bleu, pour ne plus jamais redescendre à l'étage inférieur. Alors rien que pour ça, merci “Justo” !

Just Fontaine est mort à 89 ans. Véritable légende du football français, l'attaquant recordman du nombre de buts sur une édition de Coupe du monde avait permis au Paris Saint-Germain de remonter en Ligue 1 (ex-Division 1).

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