Pour Luis Enrique, rien n'est joué en marge du match retour

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  • Publié : 2 mai 2024 à 04:14
Ce mercredi soir, le PSG se déplaçait à Dortmund dans le cadre de la demi-finale aller de la Ligue des champions. Pour cette rencontre, Luis Enrique avait décidé d’aligner le même onze de départ qui avait largement battu le FC Barcelone en quart de finale retour (1-4). Mais malheureusement ce soir, le résultat n’a pas été le même, le PSG s’inclinant sur la pelouse du Signal Iduna Park (1-0). Après la rencontre, le coach espagnol a pris le temps d'analyser cette défaite avant de se projeter sur le match retour au Parc des Princes mardi soir.

 

 

''Lucho'' est premièrement revenu sur le fait qu'il estime que les joueurs n'ont rien à perdre au retour: 

 

Vous gardez le sourire pour le match retour ? Bien sûr. C’est clair que tout le monde savait que cela allait être difficile, c’est une demi-finale de Ligue des champions. 

 

Le vestiaire est un peu affecté parce qu’en plus, on a eu deux poteaux. On a vu nos 3000 supporters qui nous ont soutenu tout le match, il faut reconnaître que c’est un stade exceptionnel, qui a su supporter son équipe, mais à Paris, on sera très fort et on n’a rien à perdre.

 

Le coach du club de la capitale a également remercié les supporters qui étaient présents et qui ont fait le déplacement lors de cette rencontre:

 

Nous connaissions la difficulté de match. C'était un match équilibré, très juste. Les deux équipes ont eu des occasions. Les attaques ont pris le dessus sur les défenses à de nombreux moments. Ils ont marqué un but. 

 

Nous avons eu des occasions très nettes, mais nous n'avons pas réussi à les concrétiser. Il n'y a rien que nous ne sachions pas faire. Maintenant, nous devons rentrer chez nous pour récupérer et penser au match retour. 
 

 

C'est la première fois en phase finale que nous jouons le premier match à l'extérieur. Pour le Borussia Dortmund, c'est la première fois qu'ils joueront le match retour à l'extérieur. Aujourd'hui, nos 4000 supporters n'ont cessé de chanter, chanter, chanter. Même si nous perdions. À Paris, ça va être une fête. Il faut que ça le soit avant le match, pendant et après.