Ramos : ''Je me sens comme chez moi''

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  • Publié : 14 mai 2024 à 03:10
  • Dernière modification : 14 mai 2024 à 03:40
Après une saison au PSG, Gonçalo Ramos compte 38 matchs pour un bilan tout de même très correct de 14 buts et 2 passes décisives. Le Portugais a été un des principaux artisans dans la seconde partie de saison. L’ancien #9 de Benfica a accordé un entretien à Onze Mondial.

 

 

Premièrement, Ramos s'est confié sur sa période d'adaptation délicate qu'il a vécu et comment se sentait-il depuis ?

 

Quand je suis arrivé, il y a eu cette période d’adaptation délicate, ensuite, j’ai pris le temps de visiter la ville, et maintenant, je me sens comme chez moi. J’ai déjà été sur les Champs-Élysées, j’ai vu la Tour Eiffel, c’était très spécial. Je me suis également baladé autour du Louvre, mais sans avoir vu le musée. 

 

Enfin j’ai fait le marché de Noël, c’était sympa. Et puis j’arrive à conduire dans Paris sans GPS donc ce premier objectif est atteint. (rires). Mon adaptation au club ? Assez bien parce qu’il y a plusieurs Portugais dans l’équipe qui m’ont bien reçu et bien aidé. Il y a aussi des Espagnols, et même les Français qui parlent espagnol m’ont bien intégré. Maintenant, j’ai l’impression que cela fait plusieurs années que je suis à Paris alors que je suis seulement arrivé en août ! 

 

''O Pistoleiro'' a également tenu a se réjouir du travail effectué par son ancien club de Benfica:

 

C’est un travail très bien fait par tous les membres du club : les dirigeants, les joueurs, les recruteurs, les cuisiniers… Il y a tellement de talents que c’est impossible de se tromper. C’est pour ça que chaque année, il y au moins un potentiel dont on sait que ça va le faire. Ensuite, le Benfica est une marque. C’est une marque réputée. 

 

C’est donc facile d’acheter là-bas car tout le monde sait que les joueurs sont bons. Enfin, avant de former de bons joueurs, le Benfica forme de bonnes personnes. L’aspect humain est très important quand on arrive au haut niveau.

 

L'avant-centre portugais a vanté le professionnalisme qui règne au sein du club de la capitale:

 

Je savais que j’arrivais dans un grand club, mais je ne pensais pas qu’il serait aussi grand. Je m’explique. Dans l’organisation, les conditions, l’aide, tout le monde est aux petits soins pour nous. Si par exemple je veux cette table qui fait baby-foot, je sais qui appeler et je pense que je la retrouve chez moi le soir même.

 

Ramos a également eu quelques mots envers son coéquipier en sélection Cristiano Ronaldo avec qui il est tellement heureux de jouer ensembles:

 

Je joue avec mon idole ! C’est un rêve. La première fois que tu t’entraînes avec lui, tu as l’impression que ce n’est pas réel, il a l’air tellement inatteignable. Ça, c’est pour la première impression. Maintenant, j’ai mis tout ça de côté et quand je rejoins la sélection, les choses se passent normalement. Il y a bien sûr un respect maximal, mais c’est différent de la première fois, c’était très impactant.

 

En terminant, l'athlète de 22 ans a du revenir sur l'épisode de la 1ère moitié de saison ou il a du être éloigné des terrains en raison de la maladie:

 

 Il y a eu des hauts et des bas. Quand je suis arrivé, l’adaptation fut difficile, je n’ai pas réussi à montrer qui j’étais, mais je pense que c’est normal. Après, ça allait mieux mais j’ai eu une rechute en décembre. Je suis tombé malade, j’ai perdu 8 kilos. J’ai eu de la fièvre, je n’arrivais pas à manger, j’ai même dû être hospitalisé.

 

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